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Hanzai

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Hanzai

Description :



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Crime : Nom Masculin Singulier
✘ (Droit) Infraction qui est du ressort des Cours d'assises, par opposition aux délits, du ressort des tribunaux correctionnels. ✘
✘ Fait de commettre des délits graves. ✘
✘ Spécialement, meurtre, assassinat. ✘
✘ Acte immoral, aux conséquences lourdes. ✘

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Tandis que son corps inerte se vidait progressivement de son sang et perdait toute trace de vie, cette femme violente lui asséna un dernier coup, un coup qui lui fut fatal...
 
 
 







Cette phrase peut-elle vous donner un avant goût de ma nouvelle fiction ? J'espère que oui.
 
Mais ne vous faites pas d'illusions, mon histoire est médiocre selon moi, mais je ne suis pas apte à juger moi-même l'étendu de mon talent. Les seuls juges qui comptent sont les gens qui daignent lire ma fiction.
 
Pas la peine de s'étendre plus sur un tel sujet, et pas la peine non plus de s'attarder sur cet article si peu utile.
 
Peut être voudriez-vous une présentation de moi ?
 
Les gens m'appellent généralement par mon prénom, mais celui-ci étant un nom à rallonge, je préférerais que vous me nommiez Gugu-Chan ou Natsui (Avec le préfixe que vous souhaitez derrière). J'ai seize ans. Je ne connais certes rien à la vie pour le moment, mais j'ai une imagination débordante qui ne demande qu'à être exploitée.
 
J'espère que c'est suffisant et que vous êtes satisfaits, je vous laisse découvrir la suite de ce blog sans plus attendre !

*
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_____________________________________________________________________________________________________
 
 Je suis répertoriée ici :
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Annuaire-de-Fanfics  -  Annuaire-de-fiic-naruto - Repertoire-Myee-Fiics - Repertoire-Aya-Fic - Critique-Fanfic-Annuaire
 


 
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#Posté le dimanche 27 février 2011 13:12

Modifié le jeudi 10 mars 2011 14:32

Taguée

 
Ô malchance ! Pourquoi as-tu fait de moi ta misérable victime ? Moi qui suis l'allégorie même... de la PERFECTION ! *SBAF*
 
Voyez-vous, une personne (Ou une chose non identifiée si vous préférez) à jeté son dévolu sur ma pauvre personne et a décidé de me taguer. Dois-je la remercier du fait que je sois en tête de liste des victimes ? Voyons le point positif : Elle pense très fort à moi. Voyons également le point négatif : Je dois me charger de cette besogne incroyablement... embêtante pour ne pas dire chiante !
 
La chose en question
 
→ Règles officielles :
 
● Chaque pitoyable victime doit écrire sept choses sur soi-même sur un nouvel article.
● Ces mêmes victimes ont le droit (Ou le devoir) de faire à son tour sept nouvelles victimes et elles doivent suivre ce même règlement, cependant, toute revanche est prohibée.
● Pour finir, la personne taguée doit prévenir les victimes qu'il tague et les victimes doivent prévenir l'auteur de ce méfait de l'article crée spécialement pour cet évènement. HIPIPIP HOURRA ! *SBAF*
 
 
☆ J'ai seize ans.
☆ J'écris des fictions depuis que j'ai l'âge de onze ans.
☆ Je suis la détentrice de nombreux blogs.
☆ Je suis folle amoureuse de Gaara
☆ J'ai eu les cheveux violets, rouges et roses (Ce ne sont pas des couleurs qui ont mal tournées si ça peut vous rassurer !)
☆ Je suis très gourmande.
☆ Je suis une fan incontestée de manga, toute catégorie ! (Shôjo, Shônen, Seinen, Hentai, Shonen-Aï, Shôjo-Aï...)
 
→ Mes victimes :
 
♡ Cora
♡ Koko-Chan
♡ Mon Amour
♡ Heart-breaker-love
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♡ Oo-Manga-oO--x3
♡ Lovely-pretty-Sakura
 

 Taguée
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#Posté le lundi 07 mars 2011 14:31

J'ai toujours détesté les histoires qui se terminent bien !


Titre : J'ai toujours détesté les histoires qui se terminent bien !
Auteur : Natsui ~
Copyright : Masashi Kishimoto, sauf Natsui Hamada qui m'appartient.
 
 




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J'ai toujours détesté les histoires qui se terminent bien !
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#Posté le dimanche 27 février 2011 13:35

Modifié le jeudi 03 mars 2011 06:53

Prologue

*
« Natsui Hamada, assassin et meurtrier sans vergogne appelée Kuroi Tenshi, coupable d'avoir fait des centaines de victimes ainsi que d'avoir commis de nombreux vols, vous êtes condamnée à une peine de prison à perpétuité ainsi que des années de travaux d'intérêt généraux. Votre peine ne pourra être réduite même pour bonne conduite. Dès demain, vous serez soumise à des interrogatoires draconiens pour savoir où vous avez caché les butins de vos cambriolages répétés, et pour savoir la raison de vos actes. »
*
La sentence venait de tomber. Elle était nette et définitive. Alors que certains applaudissaient avec entrain pour cette punition digne de l'accusée, d'autres ne comprenaient pas et étaient confus.
Les policiers présents pour la sécurité saisirent une jeune femme qui paraissait frêle et innocente, mais elle ne l'était pas. Dans sa tenue orange et matriculée, elle regarda les juges et le jury d'un ½il mauvais et quitta le tribunal, se laissant traîner mollement. Derrière la porte de sortie se trouvait des dizaines de journalistes, tentant d'arracher des réponses à leurs questions qui tombaient par milliers. C'est contre toute attente que la criminelle hurla une réponse assez vague.
*
« Tout le monde le dit : La vengeance est un plat qui se mange froid ! »
*
Les gens environnants étaient perplexes ne comprenant absolument pas la signification de cette phrase. Tous pensaient que cette phrase était destinée aux juges, mais pas du tout. Cette affaire est bien plus complexe qu'elle ne paraît.
*
*

[ ... ]
*
*

« Bon, restons calme et reprenons depuis le début veux-tu ? Dit un homme en soufflant et en accentuant la fin de sa phrase. Tout le monde dit que tu es une criminelle qui représente un véritable danger. Mais pourquoi es-tu devenue une criminelle ? Hurla-t-il à la fin.
- Vous savez, même si je répondais à cette question, cela ne vous mènerait à rien. Mes motivations vous dépassent totalement et vous ne pouvez comprendre, expliqua une jeune femme.
- Mais pourquoi ? Expliquez-vous bon sang de bon soir ! Enchaîna l'homme.
- Je refuse d'en parler. »
*
Alors que celui qui posait des questions s'impatientait des réponses que lui donnait l'interrogée, un homme surgit d'un coin de la pièce. Il n'avait cessé d'observer la scène silencieusement.
*
« Inoichi, ne t'énerve pas. Tu sais, si elle refuse de parler, il suffit de la torturer ! Dit-il en s'excitant sur place.
- Ibiki, elle est encore jeune ! Déclara Inoichi.
- Vous me faites rire ! Vous pensez qu'en me torturant vous aurez des réponses ? Non, ça ne marche pas comme ça.
- Alors comment ? S'exclama Inoichi.
- Je vois, chuchota Ibiki.
- Monsieur Ibiki a tout comprit. Si vous voulez des réponses, on fait un marché. »
*
L'interrogateur blond était exaspéré. Cette femme aux cheveux violets était un diable. Il sortit de la pièce à interrogatoires pour se reposer un peu et se calmer. Pendant ce temps, Ibiki reposa des questions à la détenue : Pourquoi êtes vous devenue ce que vous êtes ? Où avez-vous entreposé vos butins ? Quelles sont vos véritables motivations ? Racontez-moi tout en détail ! Toutes ces questions étaient reliées et le prix du marché allait s'avérer cher selon Ibiki, mais pas tant que ça. La prisonnière demandait seulement des couverts comme tous les autres lors de ses repas au lieu de vieux couverts en plastique qui fondent si la nourriture est trop chaude ou qui cassent dès qu'on les plante dans la viande. Le policier aux cicatrices dut accepter, même s'il savait que ça allait être dur de faire accepter cette condition aux plus hauts placés. Alors, l'interrogée commença à répondre aux question en un long récit.
*
« Vous savez, ma vie n'a pas été facile. S'il faut commencer par un début, je peux vous épargner les seize premières années de ma vie. Tout commence vraiment à mon dix-septième anniversaire... »
*
*

Prologue

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#Posté le dimanche 27 février 2011 14:41

Modifié le lundi 28 février 2011 12:00

Chapitre 0

*
*

Le chemin qui me mène jusqu'à aujourd'hui dans cette piteuse salle est bien long. Alors que le début paraît heureux, cette image idéaliste se flétrit bien rapidement et laisse place au malheur et au désarroi.
*
*

J'ai eu dix-sept ans un six Avril, rien ne prédisait ma journée, mais rien n'entravait ma journée non plus. A mon réveil, j'eus droit aux expansifs compliments de ma mère. Cette dernière m'aimait à un point que même vous, vous ne pouvez imaginer. De mon point de vue, à ce moment, cette personne empestait mon espace vital et je voulais qu'elle me laisse le temps d'émerger de mon état léthargique.
*
Habituellement, ma journée commence par un petit déjeuner en famille autour du journal, devant la télé et à l'écoute de la radio. Mais ce jour-là, mon père était absent. Ma mère me dit rapidement qu'il préparait les préparatifs de ce soir. Rien que le fait d'en parler à cet instant me faisait frissonner, car cette soirée allait me plonger dans le monde adulte.
*
Je prit tranquillement mon petit déjeuner pendant que ma mère cuisinait des repas à emporter, pour le soir également. Je terminai mon bol de lait et fit la vaisselle après avoir débattu avec ma mère pendant plus de quinze minutes sur le fait que je devais encore me doucher et m'habiller. Excuses bidons pour éviter cette corvée que je trouve repoussante.
*
Une fois prête, je quittai la maison et empruntai le chemin du lycée. En route, je croisai quelques gens de ma classe mais n'y prêtai pas une grande attention. Une fois arrivée à destination, non pas pour mon plus grand malheur mais pas à mon plus grand bonheur non plus, j'allai directement en classe, ne connaissant personne dans l'immense cour.
*
Je m'asseyais à ma place, non loin du bureau du professeur mais pas trop près non plus. Des élèves étaient déjà présents et discutaient entre eux tandis que j'écoutai d'une oreille distraite les ragots du jour pour ne pas donner l'impression que je venais d'une autre planète. Les jeunes affluaient, rendant la pièce bruyante. La sonnerie calma ce brouhaha intempestif et notre premier professeur de la journée fit son entrée avec des soupirs en accompagnement. Ô joie...
*
La journée était bien trop longue à mon goût, les mêmes sermons étaient répétés heure après heure, les élèves étaient sur-excités pour une raison X, les professeurs étaient ennuyant... Enfin, ça ne changeait pas de d'habitude. Mais quand la dernière sonnerie retentit, je ne tenais plus en place. Je sortis la première, en toute hâte. Le moment que j'attendais depuis plusieurs années, mon cadeau d'anniversaire le plus espéré, j'allais l'avoir ce soir.
*
J'ai couru longtemps, jusqu'à perdre haleine et à avoir un point de côté. Ce côté sportif, je ne l'avais sûrement pas hérité de mes parents. Mon père était coach sportif dans un salon de sport et ma mère était professeur de sport au niveau collège, deux grand sportifs qui se sont rencontrés à un match de catch. Toujours est-il qu'ils ont donné naissance à une larve, à un légume sur pattes, à quelque chose qui n'est absolument pas sportif. Je suis plus du genre intellectuel, j'aime la littérature compliquée, la philosophie...
*
Je rentrai dans la maison vide. Ma mère m'avait prévenu qu'elle serait absente quand je rentrerai, elle avait une réunion au collège à laquelle sa présence était obligatoire. Quant à mon père, ses séances se terminaient à vingt heures. Alors, pour m'occuper, je regardais la télévision. Puis, j'attaquais mes devoirs qui me prirent peu de temps pour ne pas dire dix minutes.
*
Je tournais en rond, me triturant le cerveau pour savoir comment allait se dérouler la soirée. Une chose était sure, elle promettait d'être mémorable. C'est alors que mes parents rentraient, heureux comme toujours. Ma mère nous prépara un repas fait à la va-vite, puis, nous montâmes nous changer. Je ne mis pas longtemps avant de faire mon choix : un pantalon noir souple avec un tee-shirt à manches longues, noir également. Je descendais. Mes parents étaient prêts aussi, tous deux vêtus de noir. Ce soir, ça allait être leur plus grand coup, et le premier pour moi : nous allions cambrioler l'hokage, le président du pays du feu.
*
Mon père avait garé une BMW devant la maison. C'était une belle voiture, elle avait le design d'une voiture sport – format familial – et était noire, de quoi envier beaucoup de gens. Ma mère m'expliqua qu'ils avaient pu payer cette voiture avec le salaire de mon père, chose étonnante puisque presque tout ce que nous avons qui coûte cher provient des vols de mes parents. A vrai dire, j'ignore comment et pourquoi ils ont commencé, mais tout ce que je sais, c'est que je les admirais et je voulais faire carrière dans le même domaine qu'eux. J'ai réussit, sauf que moi, à la différence de mes parents, je tue les gens.
*
Mon père prit le volant du cabriolet et démarra normalement, si on éveillait les soupçons avant même de commencer, ça serait idiot. Mon géniteur passa par des rues que je ne connaissais même pas. Ma mère me tendit un plan de la ville détaillé avec les meilleurs passages pour la fuite. Je le pliai avec soin et le mit dans ma poche. Elle me montra un sac sur le siège qui m'avoisinait.
*
*

« Prends le et regarde dedans. Tu trouveras une perruque brune pour cacher tes cheveux, ainsi qu'un Beretta neuf millimètres silencieux. Il y a un bipeur. Avec ton père on va partir en éclaireur, tant qu'on ne te fait pas biper, tu ne bouges pas de la voiture, et si après trente minutes on ne revient pas, tu appuieras sur la touche entrée de mon ordinateur et tu pars sans nous, m'expliqua brièvement ma mère.
- Mais, et vous ? Lui demandai-je.
- Tu as écouté ce qu'à dit ta mère ?
- Oui... »
*
*

Je ne cherchais pas à aller plus loin, je savais pertinemment que ça se retournerai contre moi. On arriva devant l'imposante demeure de l'hokage. Lui, il doit pas avoir froid au derrière l'hiver. Je montai à la place du conducteur et mon père s'assura que je pouvais partir en cas de problème, m'exposa la mécanique du monstre ainsi que ce à quoi servait quelques boutons sur le tableau de bord. Ma mère, elle, déposa un petit ordinateur portable sur le siège passager. Elle me dit simplement d'appuyer sur la touche entrée dans le cas de figure de fuite.
*
Mes parents me serrèrent dans leurs bras chaleureusement.
*
*

« On t'aime, on revient vite ne t'en fait pas.
- Je vous attends ici, répondis-je souriante.
- On sera pas longs. »
*
*

Ils partirent, cordes, grappins, arme à feu, recharges, sac à dos... Du vrai matériel de pro.
*
*

Vous savez la vie nous réserve beaucoup de choses, tellement que c'est ce qui rend la vie surprenante, cruelle et adorable. J'ai pu m'endurcir grâce à cette même vie. Seulement, je ne sais pas si je dois la remercier ou bien la haïr. Encore aujourd'hui après tout ce que j'ai traversé, j'hésite encore. Comme quoi, la nature humaine est bien étrange, vous ne trouvez pas ?
*
*

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#Posté le mercredi 02 mars 2011 15:55

Modifié le mercredi 02 mars 2011 18:29

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